L'agresseur de Besancenot identifié... grâce à la vidéosurveillance
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L'agresseur de Besancenot identifié... grâce à la vidéosurveillance
Va-t-il revoir son jugement négatif sur la vidéosurveillance ? Selon une source policière, le voleur du téléphone portable d'Olivier Besancenot a été retrouvé grâce aux caméras de surveillance parisiennes.
Le leader du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) s'était fait voler son portable lundi dernier alors qu'il sortait du métro Barbes, dans le XVIIIème arrondissement de Paris.
Il avait aussitôt porté plainte. Selon la police, les caméras ont permis d'identifier et d'interpeller un suspect samedi. Le téléphone, déjà revendu au marché noir, n'a toutefois pu être restitué à son propriétaire.
Besancenot n'a «pas changé d'avis contre la vidéosurveillance»
«Je n'ai pas changé d'avis contre la vidéosurveillance, en raison de son coût et de ce que cela représente en terme de choix de société» a réagi Olivier Besancenot dans l'après-midi. «Si la police est si sûre de son efficacité, je pense qu'elle va bientôt retrouver mon téléphone portable et les ordinateurs volés à des journalistes qui travaillaient sur le dossier de Mme Bettencourt», enchaîne-t-il.
La vidéosurveillance fait partie des cibles traditionnelles du NPA, qui s'insurge contre la légende d'une «vidéoprotection», voire de «la vidéo tranquillité». Ironie de l'histoire : le comité NPA du XVIIIème arrondissement de Paris avait même relayé l'an dernier une campagne demandant un débat et le gel du projet d'installer 1.250 caméras de surveillance à Paris, interrogeant: «Pourquoi investirait-on à Paris 300 millions d'Euros dans un système réputé aussi peu efficace?». De manière cocasse, le communiqué se terminait par «heureusement que les coupables sont attrapés par d’autres moyens»...
Leparisien.fr
Le leader du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) s'était fait voler son portable lundi dernier alors qu'il sortait du métro Barbes, dans le XVIIIème arrondissement de Paris.
Il avait aussitôt porté plainte. Selon la police, les caméras ont permis d'identifier et d'interpeller un suspect samedi. Le téléphone, déjà revendu au marché noir, n'a toutefois pu être restitué à son propriétaire.
Besancenot n'a «pas changé d'avis contre la vidéosurveillance»
«Je n'ai pas changé d'avis contre la vidéosurveillance, en raison de son coût et de ce que cela représente en terme de choix de société» a réagi Olivier Besancenot dans l'après-midi. «Si la police est si sûre de son efficacité, je pense qu'elle va bientôt retrouver mon téléphone portable et les ordinateurs volés à des journalistes qui travaillaient sur le dossier de Mme Bettencourt», enchaîne-t-il.
La vidéosurveillance fait partie des cibles traditionnelles du NPA, qui s'insurge contre la légende d'une «vidéoprotection», voire de «la vidéo tranquillité». Ironie de l'histoire : le comité NPA du XVIIIème arrondissement de Paris avait même relayé l'an dernier une campagne demandant un débat et le gel du projet d'installer 1.250 caméras de surveillance à Paris, interrogeant: «Pourquoi investirait-on à Paris 300 millions d'Euros dans un système réputé aussi peu efficace?». De manière cocasse, le communiqué se terminait par «heureusement que les coupables sont attrapés par d’autres moyens»...
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