Madagascar: un français soupçonné du viol d'une jeune fille de 17 ans,violence, viol, discothèque, maltraitance, front national, madagascar
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Madagascar: un français soupçonné du viol d'une jeune fille de 17 ans,violence, viol, discothèque, maltraitance, front national, madagascar
Jean-Marie Maréchal est un restaurateur français de 60 ans, installé depuis dix ans à Mahanoro, à Madagascar.
Depuis le 17 avril, le patron du Zoma, l’unique pizzeria-discothèque de Mahonoro est incarcéré.
Cet homme marié et père d’un enfants, est soupçonné de « maltraitances sur mineure de moins de 18 ans », selon la loi malgache.
Courant février, le restaurateur aurait frappé à plusieurs reprises Oline, une jeune fille de 17 ans qui travaillait au service de la famille depuis six mois.
La jeune employée a raconté qu’un après-midi, elle avait été violée par son patron, avant d’être attachée à un arbre et d’avoir le crâne rasé.
Lal Rateolosn le procureur malgache a précisé que « Monsieur Maréchal et sa femme ont reconnu la maltraitance mais le premier nie l’avoir violée et menacée avec un fusil ».
Au départ de cette affaire, c’est Jean-Marie Maréchal qui a déposé une plainte contre son employée.
Joint au téléphone dans sa cellule, Jean-Marie Maréchal précise dans Le Parisien :
« Ça faisait plusieurs fois qu’elle nous dérobait des biens. Mais ce jour-là, elle a mélangé du verre pilé avec le riz de la famille. Nous serions morts si ma femme ne s’en était pas aperçue ».
A la suite de cette plainte, la jeune employée a été incarcérée à la prison de Vatomandry.
C’est en détention que la jeune fille a raconté son viol et sa maltraitance à un membre du Comité international de la Croix-Rouge, le 13 avril dernier.
Le CICR a fait un signalement à la justice malgache.
Dans Le Parisien, Jean-Jacques Hoareau, dit au sujet de Jean-Marie Maréchal:
« C’est un compatriote, mais son comportement nuit à toute la communauté. C’est un gars toujours en treillis, qui se présente comme ancien légionnaire et membre du Front national ».
Un habitant de Mahanoro raconte que ce « Monsieur Jean-Marie, tout le monde en a peur. Il a déjà fait mettre plusieurs de ses employés en prison. Il tape les gens. »
De son côté, Jean-Marie Maréchal se défend :
« J’ai giflé mon employée, mais comme je l’aurais fait pour ma fille. Ensuite je l’ai attachée à un arbre avec des menottes en attendant les gendarmes. Mais je ne l’ai ni violée ni torturée. »
Pour lui, il s’agit d’un complot :
« Ici, les gens sont jaloux, surtout depuis que j’ai monté ma discothèque. Tout est fait pour me détruire. »
En attendant, Lal Rateloson, le procureur de Vatomandry a refusé la demande de mise en liberté de Jean-Marie Maréchal.
(Source: Le Parisien)
Depuis le 17 avril, le patron du Zoma, l’unique pizzeria-discothèque de Mahonoro est incarcéré.
Cet homme marié et père d’un enfants, est soupçonné de « maltraitances sur mineure de moins de 18 ans », selon la loi malgache.
Courant février, le restaurateur aurait frappé à plusieurs reprises Oline, une jeune fille de 17 ans qui travaillait au service de la famille depuis six mois.
La jeune employée a raconté qu’un après-midi, elle avait été violée par son patron, avant d’être attachée à un arbre et d’avoir le crâne rasé.
Lal Rateolosn le procureur malgache a précisé que « Monsieur Maréchal et sa femme ont reconnu la maltraitance mais le premier nie l’avoir violée et menacée avec un fusil ».
Au départ de cette affaire, c’est Jean-Marie Maréchal qui a déposé une plainte contre son employée.
Joint au téléphone dans sa cellule, Jean-Marie Maréchal précise dans Le Parisien :
« Ça faisait plusieurs fois qu’elle nous dérobait des biens. Mais ce jour-là, elle a mélangé du verre pilé avec le riz de la famille. Nous serions morts si ma femme ne s’en était pas aperçue ».
A la suite de cette plainte, la jeune employée a été incarcérée à la prison de Vatomandry.
C’est en détention que la jeune fille a raconté son viol et sa maltraitance à un membre du Comité international de la Croix-Rouge, le 13 avril dernier.
Le CICR a fait un signalement à la justice malgache.
Dans Le Parisien, Jean-Jacques Hoareau, dit au sujet de Jean-Marie Maréchal:
« C’est un compatriote, mais son comportement nuit à toute la communauté. C’est un gars toujours en treillis, qui se présente comme ancien légionnaire et membre du Front national ».
Un habitant de Mahanoro raconte que ce « Monsieur Jean-Marie, tout le monde en a peur. Il a déjà fait mettre plusieurs de ses employés en prison. Il tape les gens. »
De son côté, Jean-Marie Maréchal se défend :
« J’ai giflé mon employée, mais comme je l’aurais fait pour ma fille. Ensuite je l’ai attachée à un arbre avec des menottes en attendant les gendarmes. Mais je ne l’ai ni violée ni torturée. »
Pour lui, il s’agit d’un complot :
« Ici, les gens sont jaloux, surtout depuis que j’ai monté ma discothèque. Tout est fait pour me détruire. »
En attendant, Lal Rateloson, le procureur de Vatomandry a refusé la demande de mise en liberté de Jean-Marie Maréchal.
(Source: Le Parisien)
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