Soirée spéciale EN DIRECT sur la précarité avec Jean-Luc Delarue 16 /12/2008 à
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Soirée spéciale EN DIRECT sur la précarité avec Jean-Luc Delarue 16 /12/2008 à
Soirée spéciale EN DIRECT sur la précarité avec Jean-Luc Delarue
Mardi 16 décembre à 20:50, Jean-Luc Delarue présentera sur France 2 une émission spéciale EN DIRECT : « Les nouveaux visages de la précarité ».
2008 marque l’année de la crise : une situation financière et économique sans précédent depuis la grande crise de 1929. Jean-Luc Delarue brise les tabous en donnant la parole à ceux, qui, il y a quelques mois, se croyaient à l’abri de la précarité.
Ils vivaient dans un certain confort matériel, ne connaissaient pas le besoin. Pourtant, aujourd’hui, se loger mais aussi tout simplement se nourrir, se vêtir, se soigner devient de plus en plus difficile pour eux. Qui sont ces nouveaux visages de la précarité ? Des travailleurs pauvres, des étudiants, des retraités, d’anciens cadres, ou des mères célibataires, comment ont-ils été happés si brutalement par la spirale de la précarité ?
Reportages et témoignages
Il suffit d’un rien
Divorce, licenciement, décès du conjoint ou naissance d’un enfant, les événements les plus banals de la vie peuvent entraîner la chute.
Prendre conscience de cette fragilité c’est permettre à chacun de s’impliquer dans la société dans laquelle on vit.
Marjorie, 25 ans est mère célibataire. Sans solutions de garde pour sa fille, elle a dû arrêter de travailler pour s’occuper d’elle. Avec peu de revenus, elle n’arrive pas à payer son loyer et risque l’expulsion.
Suite à un licenciement, Marie-Josée (63 ans) se retrouve en quelques mois, expulsée de son appartement avec sa fille. Elle dort dans une cave puis dans une chambre de bonne de 8m². Aujourd’hui, grâce au « système D », elle a retrouvé un toit et se démène pour que sa fille ne souffre plus de la précarité.
Un toit malgré tout
Laurence et Saïd sont des travailleurs précaires. Avec un peu plus de 2000 euros de revenus par mois ils ne trouvent pas de logement. Depuis un an, ils vivent à l’hôtel dans une chambre de 13m² avec leurs 3 enfants.
Georges et Laetitia, vivent depuis 4 mois dans leur voiture sur un parking. La garde de leurs 5 enfants leur a été retirée. Ils doivent trouver du travail pour pouvoir se loger et retrouver un équilibre familial.
Patricia et Marc se sont fait licencier. Depuis, ils vivent dans une caravane installée dans le jardin de leur fille. Entre la culpabilité de se retrouver à la charge de leur enfant et le désespoir d’avoir tout perdu, le couple a du mal à relever la tête.
Garder sa dignité
Laurence (40 ans) était cadre et gagnait bien sa vie. Licenciée en 2005, elle est aujourd’hui sans domicile fixe, fréquente les épiceries sociales et squatte chez des amis, parfois même dans la rue. Humiliée par sa condition, Laurence refuse de vivre au crochet des autres.
Relever la tête
Refusons ensemble la misère et la crise en choisissant de mettre en avant les initiatives originales et créatives pour que la précarité ne soit plus une fatalité. De plus en plus les énergies se mobilisent : regroupements en collectivité, colocations multi générationnelles, cumul des emplois …et surtout entraide.
Josette (57 ans) et sa fille Amandine (13 ans) vivaient depuis 8 mois dans une caravane, essayant tant bien que mal de se protéger du regard des autres. Une femme du quartier les a repérées et leur a tendu la main en leur proposant son toit. Depuis une véritable chaîne de solidarité s’est créée autour de cette maman et de sa fille.
Appel à l’entraide
Parce que la solidarité reste la façon la plus simple et la plus rapide d’agir, un standard téléphonique et SMS sera actif tout au long de l’émission afin que les téléspectateurs qui le souhaitent puissent apporter une aide concrète et immédiate (proposition d’emploi, véhicule, hébergement…) aux témoins présents sur le plateau.
Des invitations vous sont offertes pour venir sur le plateau assister à l'émission.
http://www.coulisses-tv.fr/modules.php?name=News&file=article&sid=6152
2008 marque l’année de la crise : une situation financière et économique sans précédent depuis la grande crise de 1929. Jean-Luc Delarue brise les tabous en donnant la parole à ceux, qui, il y a quelques mois, se croyaient à l’abri de la précarité.
Ils vivaient dans un certain confort matériel, ne connaissaient pas le besoin. Pourtant, aujourd’hui, se loger mais aussi tout simplement se nourrir, se vêtir, se soigner devient de plus en plus difficile pour eux. Qui sont ces nouveaux visages de la précarité ? Des travailleurs pauvres, des étudiants, des retraités, d’anciens cadres, ou des mères célibataires, comment ont-ils été happés si brutalement par la spirale de la précarité ?
Reportages et témoignages
Il suffit d’un rien
Divorce, licenciement, décès du conjoint ou naissance d’un enfant, les événements les plus banals de la vie peuvent entraîner la chute.
Prendre conscience de cette fragilité c’est permettre à chacun de s’impliquer dans la société dans laquelle on vit.
Marjorie, 25 ans est mère célibataire. Sans solutions de garde pour sa fille, elle a dû arrêter de travailler pour s’occuper d’elle. Avec peu de revenus, elle n’arrive pas à payer son loyer et risque l’expulsion.
Suite à un licenciement, Marie-Josée (63 ans) se retrouve en quelques mois, expulsée de son appartement avec sa fille. Elle dort dans une cave puis dans une chambre de bonne de 8m². Aujourd’hui, grâce au « système D », elle a retrouvé un toit et se démène pour que sa fille ne souffre plus de la précarité.
Un toit malgré tout
Laurence et Saïd sont des travailleurs précaires. Avec un peu plus de 2000 euros de revenus par mois ils ne trouvent pas de logement. Depuis un an, ils vivent à l’hôtel dans une chambre de 13m² avec leurs 3 enfants.
Georges et Laetitia, vivent depuis 4 mois dans leur voiture sur un parking. La garde de leurs 5 enfants leur a été retirée. Ils doivent trouver du travail pour pouvoir se loger et retrouver un équilibre familial.
Patricia et Marc se sont fait licencier. Depuis, ils vivent dans une caravane installée dans le jardin de leur fille. Entre la culpabilité de se retrouver à la charge de leur enfant et le désespoir d’avoir tout perdu, le couple a du mal à relever la tête.
Garder sa dignité
Laurence (40 ans) était cadre et gagnait bien sa vie. Licenciée en 2005, elle est aujourd’hui sans domicile fixe, fréquente les épiceries sociales et squatte chez des amis, parfois même dans la rue. Humiliée par sa condition, Laurence refuse de vivre au crochet des autres.
Relever la tête
Refusons ensemble la misère et la crise en choisissant de mettre en avant les initiatives originales et créatives pour que la précarité ne soit plus une fatalité. De plus en plus les énergies se mobilisent : regroupements en collectivité, colocations multi générationnelles, cumul des emplois …et surtout entraide.
Josette (57 ans) et sa fille Amandine (13 ans) vivaient depuis 8 mois dans une caravane, essayant tant bien que mal de se protéger du regard des autres. Une femme du quartier les a repérées et leur a tendu la main en leur proposant son toit. Depuis une véritable chaîne de solidarité s’est créée autour de cette maman et de sa fille.
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Parce que la solidarité reste la façon la plus simple et la plus rapide d’agir, un standard téléphonique et SMS sera actif tout au long de l’émission afin que les téléspectateurs qui le souhaitent puissent apporter une aide concrète et immédiate (proposition d’emploi, véhicule, hébergement…) aux témoins présents sur le plateau.
Des invitations vous sont offertes pour venir sur le plateau assister à l'émission.
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