Placés en centres éducatifs suite à l'agression du collégien
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Placés en centres éducatifs suite à l'agression du collégien
Trois adolescents mis en examen suite à la violente agression d'un collégien à Fleury-les-Aubrais dans le Loiret, ont été placés en centres éducatifs fermés.
Agés de 14 et 15 ans, trois adolescents ont été placés en centres éducatifs fermés. Ils avaient été mis en examen vendredi soir pour violences en réunion avec préméditation ayant entraîné une infirmité permanente, une qualification criminelle, à l'issue de leur garde à vue.
Le parquet avait requis leur placement en détention. Dans la soirée de vendredi, les trois collégiens ont été présentés à un juge des libertés et de la détention, qui a ordonné leur placement dans trois centres éducatifs fermés distincts, selon cette source.
Les trois collégiens sont accusés d'avoir tendu un "guet-apens" à Vivien, un délégué de classe de 3e, en représailles à l'exclusion temporaire de l'un d'eux.
La victime, violemment frappée à coups de pied et de poing sous les yeux de sa mère, avait été hospitalisée d'urgence et avait dû subir une ablation de la rate. Lors de l'agression, deux des adolescents auraient porté des coups à la victime tandis que le troisième faisait le guet, selon une source judiciaire.
L'agression, en présence de plusieurs autres témoins, avait été précédée la veille d'un échange verbal "un peu difficile", puis, le matin même, d'un début de bagarre entre Vivien et l'un des agresseurs. Ce dernier avait alors fait l'objet d'une exclusion immédiate "à titre conservatoire", dans l'attente d'un conseil de discipline.
C'est quelques heures après cette exclusion que les trois jeunes garçons, dont deux élèves d'André-Chêne, avaient agressé le délégué de classe, à quelques centaines de mètres du collège. (Source AFP)
Agés de 14 et 15 ans, trois adolescents ont été placés en centres éducatifs fermés. Ils avaient été mis en examen vendredi soir pour violences en réunion avec préméditation ayant entraîné une infirmité permanente, une qualification criminelle, à l'issue de leur garde à vue.
Le parquet avait requis leur placement en détention. Dans la soirée de vendredi, les trois collégiens ont été présentés à un juge des libertés et de la détention, qui a ordonné leur placement dans trois centres éducatifs fermés distincts, selon cette source.
Les trois collégiens sont accusés d'avoir tendu un "guet-apens" à Vivien, un délégué de classe de 3e, en représailles à l'exclusion temporaire de l'un d'eux.
La victime, violemment frappée à coups de pied et de poing sous les yeux de sa mère, avait été hospitalisée d'urgence et avait dû subir une ablation de la rate. Lors de l'agression, deux des adolescents auraient porté des coups à la victime tandis que le troisième faisait le guet, selon une source judiciaire.
L'agression, en présence de plusieurs autres témoins, avait été précédée la veille d'un échange verbal "un peu difficile", puis, le matin même, d'un début de bagarre entre Vivien et l'un des agresseurs. Ce dernier avait alors fait l'objet d'une exclusion immédiate "à titre conservatoire", dans l'attente d'un conseil de discipline.
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