Trois gardes-à-vue suite à une mutinerie
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Trois gardes-à-vue suite à une mutinerie
Trois détenus de la maison d'arrêt de Bar-le-Duc ont été placés en garde-à-vue dans la nuit de vendredi à samedi. Ils sont soupçonnés d'être à l'origine d'une mutinerie qui s'est achevée dans le calme peu avant minuit.
Trois personnes soupçonnées d'être à l'origine de la mutinerie à la maison d'arrêt de Bar-le-Duc, ont été placées en garde-à-vue dans la nuit de vendredi à samedi.
Dix-neuf détenus n'ont pas regagné leurs cellules à l'issue de la promenade, vers 17h30. Les trois détenus auraient "fait pression" sur leurs codétenus en exerçant des menaces sur l'un d'entre eux, a expliqué le procureur Yves Badorc qui s'était rendu sur place. Ils ont aussi "bloqué" la porte d'accès à la promenade. Des dégradations ont été commises sur un mirador avec des cailloux.
Les mutins présumés entendaient semble-t-il exprimer leur volonté de changer d'établissement pénitentiaire. Ils ont été conduits au commissariat de Bar-le-Duc ainsi que le détenu menacé.
L'intervention du Groupe d'intervention de la police nationale de Strasbourg, arrivé peu après 23 heures, a permis d'engager des négociations rapidement fructueuses. "Les détenus ont assez vite accepté de se rendre", a dit Yves Badorc. Personne n'a été blessé.
Les Equipes régionales d'intervention et de sécurité se trouvaient déjà sur les lieux.
Vers minuit, la rébellion était "terminée", selon le directeur de cabinet du préfet de la Meuse, Gilles Guillaud, également sur place. (Source AFP)
Trois personnes soupçonnées d'être à l'origine de la mutinerie à la maison d'arrêt de Bar-le-Duc, ont été placées en garde-à-vue dans la nuit de vendredi à samedi.
Dix-neuf détenus n'ont pas regagné leurs cellules à l'issue de la promenade, vers 17h30. Les trois détenus auraient "fait pression" sur leurs codétenus en exerçant des menaces sur l'un d'entre eux, a expliqué le procureur Yves Badorc qui s'était rendu sur place. Ils ont aussi "bloqué" la porte d'accès à la promenade. Des dégradations ont été commises sur un mirador avec des cailloux.
Les mutins présumés entendaient semble-t-il exprimer leur volonté de changer d'établissement pénitentiaire. Ils ont été conduits au commissariat de Bar-le-Duc ainsi que le détenu menacé.
L'intervention du Groupe d'intervention de la police nationale de Strasbourg, arrivé peu après 23 heures, a permis d'engager des négociations rapidement fructueuses. "Les détenus ont assez vite accepté de se rendre", a dit Yves Badorc. Personne n'a été blessé.
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